[Fanfiction poulet] X'e... Plora

Il fut un temps où rien n'était parfaitement bien réfléchi, où rien n'existait, rien d'important, rien d'utile, mais ceci, est du passé.
Avec un nouveau texte de la Loi, et un nouveau texte du monde de X'e Plora, les âmes des quatre étaient ici, mais pas là où il fallait.
Avec la création de ces personnes, Gensokyo était maintenant lié par les portes et les clés d'Aita Doa, la maîtresse des portes.
Nuria Shaji et Aita Doa se rendirent à Gensokyo pour la première fois depuis tellement de temps (*1).

Les évènements suivants se passent en 1968 à Xiode, et en 2001 à Gensokyo, pendant le temps de la Grande Guerre dans le monde des Oy (*2). Nous suiverons Aita Doa, Nuria Shaji, et quelques de leurs compagnons dans cette histoire qui est tout droit sortie d'une légende...

La nuit tombait à Gensokyo alors qu'elle était toujours présente à Xiode. Il fallu attendre dix minutes pour que la Shibafu et l'Androïde arrivent à Gensokyo (*3).
Mais voyons plutôt comment et pourquoi ceci arrivait, et les raisons qui avaient poussé les deux personnes à arriver ici.
Dix minutes avant, à Xiode, les habitants regardaient les clés d'Aita sortir d'un peu tous les endroits de Trammarr, le jardin municipal, la piscine, la tour d'Oy et plein encore (*4). Elles volaient de tous ces endroits vers la Shibafu, les mains ouvertes. À coté d'elle, se trouvait une androïde du nom de "Nuria Shaji", en train de réfléchir, ses yeux fermés ne s'ouvriraient qu'une minute après pour regarder Aita, ouvrir cette porte qui menait vers une forêt. Elle dit à la Shibafu :

- Je peux savoir pourquoi nous sommes ici ? Et pourquoi nous faisons cela ?

L'incarnation des clés répondit :

-Tout simplement car nous sommes en pleine guerre civile, nous devons fuir pour ramener de l'aide. Alors, j'ai pensé que nous pourrions aller chercher à Gensokyo, un monde extérieur tout aussi beau que celui-ci, sauf qu'ils ont une notion de "jour" que je ne comprend pas vraiment. Nous devons y aller très rapidement. Prépare-toi Nuria, et ne t'inquiète pas, j'ai demandé l'autorisation à Rokajiri pour t'emmener. Tu vas beaucoup me servir.

Nuria se mit en pause, une minute, pour penser à quelque chose. Et cette chose était : "Qu'est ce que le jour ?". Elle se mit à penser aux faits qu'elle voyait noir tout le temps et qu'elle était codée en java (*5). Les minutes passèrent, Nuria était de plus en plus hésitante à entrer dans cette porte qui menait vers un autre monde.
Aita commença à la presser un peu.

-Si tu ne te dépèches pas de te décider, nous allons être repérées.

Mais l'androïde ne répondit rien, elle se contenta d'avancer pour toucher l'encadrement de la porte. Il était en bois de chêne, tout doux et poncé. Elle émit un bruit de modem 66k et ne bougea plus pendant une demi-minute. Elle demanda :

- On y va ?

Les deux amies se dirigèrent vers cette porte pour aller vers un monde meilleur, histoire de trouver de l'aide, une personne assez puissante pour arrêter cette guerre...  

1 : Cela fait un énorme anachronisme.

2 : À préciser.

3 : Une race exclusif à Xiode. Ce sont des croisements d'animaux et de yokais. À la base, ils ont un corps d'humain mais avec des caractéristiques animales. Chaque personne a un corps unique.

4 : La région de Xiode où Mizu règne.

5 : Oui. En javascript. Le truc qui plante tout le temps sans arrêt.

Note de Mizu: Je ne cautionne pas cette fin de chapitre.

Une fois que les deux amies s'étaient résilié à passer cette fichue porte, elles se demandèrent ce qu'elles pourraient bien faire en arrivant dans la forêt dans laquelle elles étaient. Mais au moment où elles posèrent leurs pieds gauches sur le tapis de feuille qui recouvrait une petite partie du sol, un gros bruit de grognement se mit à retentir à leur droite. L'endroit était totalement noir.
Les deux eurent un frisson de peur en regardant le chien noir semblant les fixer sans le faire en même temps. Étrangement, il dégageait une aura de bonheur. Nuria s'en approcha pour essayer de le caresser, mais, l'aura se dissipa et l'ambiance devint de plus en plus stressante. Quand il, qui n'en était pas un, prit une forme humanoïde, il bougea sa main pour la poser sur sa tête, pour essayer de retenir Nuria. Le canidé s'était "transformé" en une jeune fille aux cheveux bloncs, aux yeux bleu glacé, portant une robe violette, une enfant qui semblait faire un régime tellement elle était mince (*1).

Nuria se fit la réflexion :
- Bonjour jeune fille. Es-tu une Shibafu ? Tu as des oreilles de... chien... j'imagine.

La fille légèrement embarrassée répondit :
- J-Je m'appelle Raikura. Et non, je suis une yokai ! Je ne pense pas vous avoir déjà rencontrées par ici... Je me trompe ?

Aita prit une de ses clés et dit à Raikura :
- Je suis Aita Doa, maîtresse des clés. Et voici Nuria Shaji, l'androïde codée avec le cul. Nous venons de Xiode, un monde extérieur à celui-ci, et nous venons de cette port-

Aita se retourna. Elle devint stressée en ne retrouvant plus sa porte.
- Mince... J'avais oublié que mes portes disparaissaient au bout de quinze minutes après les avoir ouvertes...

Nuria rigola et répondit :
- T'es douée tiens, on va aller loin avec toi !

Aita se vexa et ne répondit pas à la provoque de Nuria. Mais, l'androïde devait se méfier. Car, Aita est la seule personne dans ce monde qui pouvait la protéger.
À ce moment précis, de la brume s'installa dans la forêt, dense comme l'iris d'un chien regardant une saucisse appétissante qu'il ne pourrait pas manger. Raikura sortit un objet assez "difficile à tenir" et "lourd". Elle expliqua que c'était un objet venant du Monde Extérieur. Une Game Boy Color plus précisément, un objet servant à se détendre, et à jouer avec. C'était, peut-être, l'objet le plus farfelu que Nuria vit de toute sa vie. Elle, Androïde, aurait dû comprendre comment marche cet objet, mais il n'en était rien. Il n'existait pas dans sa base de données.
La soi-disante yokai s'avança vers nos deux amies pour leurs montrer à quoi cet petite machine servait et comment elle fonctionnait. Le vent apportait encore plus de brume, en une seconde, toute la forêt était recouverte de cette brume claire mais dense.
Une silhouette se dessinait entre deux arbres, s'avançait vers les trois personnes qui se tenaient debout sans pouvoir se voir, à part Nuria, qui, grâce à ses phares anti-brouillard, voyait très bien tout ce qu'il se passait. L'androïde croyait voir une forme noire à côté de cet arbre. Grâce a son détecteur cardiaque, qu'elle n'avait pas encore testé, que Rokajiri lui avait codé trois jours avant, elle se rendit compte que cette "personne" devant elles n'avait aucun rythme cardiaque. Elle n'était pas vivante... Pourtant, elle bougeait très bien pour une personne non vivante.
Nuria s'avança vers la chose, un peu apeurée, elle regardait partout autour d'elle. Arrivée à deux mètres de la présumée personne, Nuria tilta que ce n'était qu'une vulgaire poupée contrôlée par magie. Soudainement, une voix retentit d'entre les arbres, une voix aiguë :

- Que faites-vous ici, vous trois !

Les trois vagabondes se retournèrent vers où venait cette voix. Une jeune fille était là, debout, sur le sol plat. C'était une autre fille blonde, aux yeux bleus, au serre-tête rouge et à la robe bleu. Elle ne disait rien, elle attendait une réponse.
Aita prit la parole :

- Nous sommes de braves gens, qui viennent tout simplement voir un ce qu'il se passe dans ce monde.

Cette fille s'appelait Alice, la connue Alice Margatroid. Elle n'était pas convaincue... Alors, elle s'avança vers les trois filles, et...
Une flèche vint se planter par terre, juste devant elle, comme pour l'empêcher d'avancer. Une voix retentit, encore, par delà la forêt. Les quatre entendirent une personne crier :

- Je suis toujours aussi précise, moi !

1 : Je ne cautionne pas le fait que la fille en question est anorexique, mais c'est vrai que je la dessine avec une taille mince, souvent.

Note de FillyMew : Yep. Raikura pense que c'est une yokai. Elle ne comprendra jamais !

Note de Mizu : Je pense que je vais arrêter de réfléchir sur la fin de mes chapitres xD

Il y a un moment où on ne peut pas choisir le reste de ce qu'il se passe, et ce n'est jamais vraiment, très beaucoup pas sympa.

Cette voix ressemblait à celle d'une jeune fille. Nuria ne l'entendit pas de cette oreille. Pour l'androïde, cette voix était grave et robotique, elle semblait venir de son coeur de métal.

La flèche qui était plantée dans le sol verticalement, avait un petit ruban attaché sur son bois, qui reliait sa pointe à sa plume (*1). Elle était longue, fine, de quoi transpercer un morceau de métal, et robuste. Alice voulu la prendre dans ma main, mais la flèche disparu. Elle laissa un bruit de feuilles.
Une minute passa, pendant laquelle Alice, Aita, Nuria et Raikura firent connaissance. Un nouveau bruit de feuilles se fit entendre. Nuria se tourna vers l'endroit d'où venait ce bruit, par curiosité. Une petite fille apparut de ces feuilles. Cette fille était si petite qu'elle ne faisait pas plus de trois pommes. Elle avait les cheveux longs et les yeux orange. Il y avait une balle orange volante à côté de cette fille.

La balle prit parole, d'un coup:

- Je ne vous ai pas touchées ? Oh... quel dommage. Bon, je me présente, je suis Saasol, Saasol Faosta, ravie de vous rencontrer.

Le vide le plus monumental s'était installé, c'était des plus gênants (*2). Heureusement, Nuria, qui ne savait pas quoi répondre, prit quand même la parole:

- Euh... Bonjour à vous... jeune fille.

Encore un vide gênant.

- Je suis Nuria Shaji... ravie de vous rencontrer !

Encore et toujours cette Shibafu d'Aita prit la parole:

- Bon, et bien... Que faites-vous ici ?

- Je suis venue pour... je ne sais pas, rencontrer des gens...? répondit Saasol.


- Pourquoi nous avoir lancer une flèche alors ? continua Aita.
- Je voulais m'amuser un peu, voilà tout.

Le ciel changeait de couleur pour passer du bleu à l'orange, l'orange du coucher de soleil. Alice proposa à tout le monde de passer le nuit chez elle, et tout le monde  répondit par la positive.
Elles se pressèrent vers la maison d'Alice, grande et très jolie. La porte s'ouvrit et une poupée sortit de la maison pour se blottir dans les bras d'Alice. Celle-ci recula un petit peu, par le choc provoqué par la poupée et faillit tomber par terre. Puis elle regarda Nuria qui se souvint qu'elle était codée en java, encore.

1, Note de Mizu : Je sais pas comment ça s'appelle.

2 : Yep, j'ai... vraiment essayé xD