Vos rêves à vous. (Lol)

Moi non plus j'dirais rien!

Bah écoute, hier, les water sont entrés dans mon subconscient: j'ai rêvé que j'étais devant la "pissotière"... cqfd

Tout commence alors que je suis en cours à l’IUT. C’est un banal TP où je suis avec un groupe de gens que je connais. On est trois, et ensuite, on finit le TP, il s’écoule un jour, et chez moi, je suis tranquillement avec Satellizer el Bridget, de la série Freezing. On discute, tout ça, on s’entend bien, on est même assez proches au final, comme des amis de longue date. La nuit passe paisiblement, puis je retourne en cours et je change de partenaires, le prof l’a décidé ainsi. Je me retrouve avec encore deux personnes que je connais. On fait le TP, mais y’a un tableau que m’on comprend pas. Hélas, entre ces deux jours, mon école s’est retrouvée plongée dans un froid hivernal, et j’ignore pourquoi, mais je sais qu’on est dans un système bizarre. Un truc russe, c’est clair. Un système totalitaire, avec des sanctions spécifiques avec des noms étranges.

Le kolak, et le Cardigane(ou Kardigane ?). En fait, le Kolak me faisait penser au goulag, mais non. C’est simple, c’est le nom d’une torture où on te forçait à écouter une chanson nulle jouée avec un instrument pourri. Kolak étant le nom de l’instrument. Cela produit un son entre le strident désagréable d’un violon et le bruit d’une cornemuse. Le Cardigane se rapprochait du vrai goulag. En gros, c’était des travaux forcés, tout simplement. Mystérieusement, mes amis sont condamnés à aller au Cardigane. Hélas, je me dis qu’il faut que je finisse le TP pour eux, ne pas laisser leur boulot ainsi. Seulement on était autour d’un monument, genre une statue, avec des barrières et on était regroupés en cercle. J’étais dans le cercle, et il neigeait. J’avais l’impression d’être en russie. Mais donc impossible d’écrire par terre sur la neige. De l’autre côté des barrières, près de la statue, des soldats russes, à chapka. Je savais à peu près où se trouvait le Cardigane.

Je décide d’aller d’abord aider mes amis volontairement au Cardigane, plus vite ils auront fini leurs travaux et plus vite ils seront sortis, et je commence à courir à la sortir de cet espèce de grande place, qui s’avérait être un parc. Je me retrouve en ville je ne vois pas le cardigane. Je cours toujours, et là… J’entends un vacarme assourdissant. Et des civils à côté de moi hurlent « Ca y est ! Ils ont lancé les opérations ! FUYEZZZ ! » ou encore « C’EST LA GUERRE OUVEEERTE ». Je me retourne, en m’arrêtant sur un rond-point. Je vois alors des tas de voitures, des Jeep et autres, foncer, traverser, avec à leur bord des militaires. Je manque d’être renversé, et je sais que c’est dangereux, et qu’ils ne se contentaient pas d’avancer, comme je le croyais au début, et qu’ils allaient s’en prendre à nous quand même. Surtout que ça se confirme, je commence à voir un BTR, un véhicule blindé avec une mitrailleuse lourde sur le dessus. Et il ouvre le feu. Je me suis pas fait prier, j’ai couru, j’ai zigzagué, et j’ai pris pour abri les voitures, faute du fait que la rue était juste droite. Bien sûr, la mitrailleuse aurait fait explosé les voitures, et j’ai donc pris une voiture qui se situait devant une autre en abri, histoire qu’il y ait un abri temporaire pour mon propre abri, et que ça retarde légèrement l’explosion de ma voiture. Le BTR arrosant la rue comme ça, cela m’a donné quelques secondes pour courir devant. Il a commencé à m’arroser, mais j’ai eu de la chance, j’ai pu tourner à droite. Hélas, c’était juste une sorte de petite cour et des apparts, mais au moins cela me mettait hors de portée des tirs.

Je suis monté dans l’appart’, et après un escalier qui montait au deuxième étage, une femme m’ouvre. Si j’étais rentré dans l’appart’, c’était juste pour rester hors de vue le temps que le BTR traverse, la raison pour laquelle je suis monté, je l’ignore. Et donc, cette femme avait l’air… A moitié folle. Gâchette facile, un peu provocatrice et l’air bourrée sans l’être, et elle ressemblait à une espèce de femme cow-boy, qui porterait bien le nom de Calamity Jane en fait. J’observe par la fenêtre le convoi passe… Mais un des types me parait louche. Il ressemble à un espèce de clown, à mi-chemin entre le comte millénaire de D Gray Man et Lil’Ronnie, de Fate Extra(une tête du compte, dans un corps fin comme Ronnie, avec les couleurs et les cheveux de cette dernière, quoique des couleurs plus vives, avec du jaune et du vert claquant en plus. La mâchoire ceci dit moitié moins longue, mais le même sourire. Portant un costard). Et il s’est mis à regarder dans ma direction. Fuck. Là, Calamity Jane dégaine ses deux revolvers, car elle aussi sent que le comte, qui était certainement un éminent haut-gradé de la troupe adverse, allait venir faire joujou avec nous. Et Jane ouvre sa porte, on voit le comte en bas des escaliers. Elle ouvre le feu et le crible de balles, au point qu’il était genre désarticulé. Mais je savais qu’il était vivant, je sais pas comment, mais je le savais. Je cours, j’attrape l’arme qu’il a fait tomber, un Ingram Mac10, pistolet mitrailleur en fait. Et là je vide son chargeur sur la tête du comte, et sur son corps. Il n’avait plus de tête, normalement… Sauf que voilà… Même ainsi, il se relève comme si de rien était, et me choppe à la gorge.

Je sens que c’est la fin, et mon esprit est projeté hors de mon corps. Je vois la scène en spectateur, le comte , étant près de la sortie, retourne dans la cour, et me jette sur le dernier tank qui passait, droit sur le côté des chenilles. J’ai vu, dans le brouillard, les ombres nettes du tank et de mon corps(je constatais que je portais un costard noir et chemise blanche à ce moment. Pour le froid environnant, c’était léger dis donc). Le corps s’agite dans tous les sens, comme s’il avait été passé au mixeur, je me sens désarticulé, et je pensais avoir été déchiqueté en deux ou trois morceaux. C’était la fin. Mais non, finalement, le corps est entier, même s’il a pris cher. Dans ces conditions de toute façon, qu’allait-il se passer ? Jane ne semblait pas sortir, ni rien, le compte l’aurait descendue aussi ? J’ai pas regardé, vu que j’étais focalisé sur mon propre corps.

Et là, je suis transporté dedans, et je me relève, tant bien que mal… Je suis vivant. Mais le comte est là, je suis foutu quand même non ? Bah nan. Satellizer el Bridget arrive. Et elle commence l’affrontement avec le comte. Après quelques longues minutes, elle triomphe. Mais on n’est pas au bout de nos peines… L’invasion a commencé, et l’état de la ville est déplorable. Une vaste terre grise, avec des bâtiments vides et désolés. Encore assez entiers, ils ne sont pas effondrés, mais criblés de balles et de fissures. Avec le brouillard, cela faisait ville fantôme(un peu comme ce style-là, sans les décombres et avec des murs en état encore, juste troués. Ou encore comme celui-là, mais avec des bâtiments plus grands, genre comme une grande ville). La lutte ne faisait que commencer.

Hélas, pour l’heure, impossible de les rattraper. La nuit tombait, et il nous fallait nous reposer. Mais je ressentais une angoisse permanente. J’ignorais pourquoi, mais je la sentais mal. Et une fois qu’on est rentrés se coucher dans un appart’ pas loin, je me réveille. J’aurais bien voulu connaître la fin de cette bataille apocalyptique xD

REEED! Je suis sûr que c'est ta faute, toi et ton communisme! *SBAF*

[insèrez ici le fantôme de lavanville]